Robert, stagiaire chez l’avocat Turpin, vit encore chez ses parents. Flirtant avec une collègue, il est licencié par son patron jaloux. Il rencontre alors Catherine, qui a une petite fille à charge. Il en tombe amoureux et essaie de la faire embaucher comme bonne par ses parents.
Film extrêmement typique de son époque, Papa, maman, la bonne et moi se veut une œuvre « popote », à l’opposé du grand spectacle, et de ce fait montre avec une certaine fidélité le quotidien d’une famille de Français moyens du début des années 1950.